Interview, Diana Vreeland par Warhol (Décembre 1980)
Bon exemplaire du numéro du magazine Interview de décembre 1980 dont la couverture est ornée d'un portrait de Diana Vreeland par Andy Warhol. Ce numéro contient un article intitulé Diana Vreeland, empress of fashion par Jonathan Lieberson.
Titre | Interview, Diana Vreeland par Warhol (Décembre 1980) |
Édition | New-York, Interview, 1980 |
Description | 120 pages, nombreuses illustrations, agrafées sous couverture illustrée d'une portrait de Diana Vreeland par Andy Warhol. |
État | Bon état. |
Dimensions | 280x430 mm |
Diana Vreeland commence sa carrière en 1936 au Harper's Bazaar aux côtés de la rédactrice légendaire Carmel Snow. Elle rejoint ensuite le Vogue en tant que rédactrice en chef en 1962. Elle quitte le magazine en 1971 et travaille alors comme consultante pour le Metropolitan Museum pour qui elle révolutionne la conception des expositions de mode. Sa mort en 1989 prive le mode de la mode d'une personnalité qui sut allier une grande culture à un sens rare de l'édition. On trouve dans Allure de nombreux portraits de célébrités par les plus grands photographes de mode : Horst, Avedon, Beaton, Penn, Steichen, de Meyer, Hoyningen-Huene, Turbeville, etc.
En 1984, la maison d'édition Alfred Knopf publie les mémoires de Diana Vreeland sous le titre D.V. Le texte est issu de plusieurs années de conversations avec Diana Vreeland menées par Christopher Hemphill, puis par l'éditeur George Plimpton. Hemphill est un jeune écrivain-journaliste diplômé de Yale proche d'Andy Wahrol. C'est d'ailleurs l'inventeur de la Factory qui suggère l'utilisation du magnétophone pour saisir la verve si particulière de Diana Vreeland. Le procédé utilisé initialement pour Allure ayant été fructueux, George Plimpton est chargé par Knopf de compléter les enregistrements de Hemphill et de les retravailler pour former une autobiographie. D.V. regorge ainsi d'anecdotes, de rencontres de grands de ce monde, de saillies Vreelandiennes. L'éditeur dans la lettre qui accompagne l'épreuve non-corrigée du livre décrit ainsi l'ouvrage : " Reading D.V. is like stepping into a Rolls Roys and whirring off into the great world of fashion, art, society with the perfect companion and interpreter at your side : the incomparable Diana Vreeland who knows everybody, who is in love with the world, who hasn't a neurotic or blasé bone in her body, who exudes spunk, verve and Pizzaz as she tells about her international childhood, her charmed life as a young married woman, her return to America in 1937".
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